Posté par Christian Querou
Le Bureau du Haut Commissariat aux droits de l’homme se félicite des efforts des Emirats permettant d’offrir des refuges pour les femmes et les enfants et une assistance psychologique et juridique aux victimes de la traite des êtres humains.
Lord d’une réunion avec Sarah Shuhail, CEO de Shelters, Mme Youla Haddadin, conseillère pour la lutte contre la traite du Bureau pour les droits de l’homme, rappelle les efforts des Emirats dans ce domaine et la reconnaissance de l’ONU. Selon la responsable, les Emirats devancent de nombreux pays en termes de mesures législatives et institutionnelles visant à lutter contre la criminalité transnationale.
Sarah Shuhail était à Genève pour des réunions périodiques du Conseil des droits de l’homme, informant les participants de l’expérience des Emirats dans la lutte contre la traite des êtres humains.
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mercredi 27 juin 2012
mardi 26 juin 2012
‘Les Restaurants Wendy’s Impliques Dans La Lutte Contre La Traite des Etres Humains
Posté par Christian Querou
Les restaurants Wendy’s des Bahamas et de Nassau s’impliquent dans la lutte contre la traite des êtres humains. Depuis, le 11 mai dernier, les repas sont servis sur des plateaux portant des informations sur la traite des personnes.
Cette initiative est une collaboration entre UN.GIFT, l’Équipe nationale d’intervention sur la traite humaine (Bahamas National Trafficking-in-Persons Task Force) et les restaurants Wendy’s des Bahamas. Durant cette campagne, tous les restaurants Wendy’s des Bahamas et de Nassau serviront les repas sur ces plateaux. Les plateaux expliquent les différentes formes de traite : exploitation sexuelle, travail forcé, exploitation des enfants et servitude. Un numéro de téléphone de référence (police et centre de crises) permet de référer et dénoncer les cas de traite.
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Les restaurants Wendy’s des Bahamas et de Nassau s’impliquent dans la lutte contre la traite des êtres humains. Depuis, le 11 mai dernier, les repas sont servis sur des plateaux portant des informations sur la traite des personnes.
Cette initiative est une collaboration entre UN.GIFT, l’Équipe nationale d’intervention sur la traite humaine (Bahamas National Trafficking-in-Persons Task Force) et les restaurants Wendy’s des Bahamas. Durant cette campagne, tous les restaurants Wendy’s des Bahamas et de Nassau serviront les repas sur ces plateaux. Les plateaux expliquent les différentes formes de traite : exploitation sexuelle, travail forcé, exploitation des enfants et servitude. Un numéro de téléphone de référence (police et centre de crises) permet de référer et dénoncer les cas de traite.
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lundi 25 juin 2012
Le trafic d’organes et l’esclavage moderne
Posté par Christian Querou
La recherche médicale a montré que les greffes d’organes augmentent la durée de vie et les chances de rémission des patients ayant eu un ou plusieurs organes endommagés. Pourtant, il n’est pas du tout aisé d’obtenir des organes chez des donneurs décédés, et encore plus de se les procurer à partir de donneurs vivants, la pratique est extrêmement limitée et strictement réglementée en occident. Ne serais ce qu’en Europe de l’Ouest, plus de 120 000 patients sont souvent en dialyse, et environs 40 000 patients sont en attente pour une greffe de rein. Du fait des pénuries chroniques d’organes, environs 15 à 30% des personnes inscrites sur les différentes listes d’attente de greffe meurent avant de pouvoir bénéficier d’une greffe. Le délai pour l’obtention d’une greffe varie selon les pays est d’environ 3 ans en Europe, et s’allonge au fur et à mesure des années.
Le trafic d’organes
Des hommes, femmes et même des enfants sont vendus tels des pièces détachées afin de répondre à la demande du marché. Les riches patients dont l’état de santé nécessite des transplantations d’organes en sont les principaux bénéficiaires. Il s’agit d’un trafic qui rapporte beaucoup d’argent et qui est organisé par des réseaux de crime organisé qui sont souvent liés au trafic de drogue ainsi qu’à la traite des êtres humains pour le compte des filières de prostitution.
Comment combattre le fléau ?
Selon les criminologues, le trafic d’organes tout comme la traite d’êtres humains ainsi que le trafic de drogue est motivé par la demande. L’Europe de l’Est, l’Asie et l’Afrique ne peuvent eux seuls assumer la charge de lutter contre ce genre de criminalité. Les nouvelles tendances observées pour certains pays d’Europe de l’Ouest pour des lois plus laxistes, qui autorisent plus aisément les dons d’organes par des donneurs vivants même n’ayant aucun lien de parenté avec les receveurs, soulèvent d’importantes inquiétudes pour ce qui est des abus pouvant en résulter. Il est donc crucial d’adopter des législations plus contraignantes qui pour autant tiennent compte des droits des personnes en attente de transplantation aussi bien au plan national que au plan international.
La recherche médicale a montré que les greffes d’organes augmentent la durée de vie et les chances de rémission des patients ayant eu un ou plusieurs organes endommagés. Pourtant, il n’est pas du tout aisé d’obtenir des organes chez des donneurs décédés, et encore plus de se les procurer à partir de donneurs vivants, la pratique est extrêmement limitée et strictement réglementée en occident. Ne serais ce qu’en Europe de l’Ouest, plus de 120 000 patients sont souvent en dialyse, et environs 40 000 patients sont en attente pour une greffe de rein. Du fait des pénuries chroniques d’organes, environs 15 à 30% des personnes inscrites sur les différentes listes d’attente de greffe meurent avant de pouvoir bénéficier d’une greffe. Le délai pour l’obtention d’une greffe varie selon les pays est d’environ 3 ans en Europe, et s’allonge au fur et à mesure des années.
Le trafic d’organes
Des hommes, femmes et même des enfants sont vendus tels des pièces détachées afin de répondre à la demande du marché. Les riches patients dont l’état de santé nécessite des transplantations d’organes en sont les principaux bénéficiaires. Il s’agit d’un trafic qui rapporte beaucoup d’argent et qui est organisé par des réseaux de crime organisé qui sont souvent liés au trafic de drogue ainsi qu’à la traite des êtres humains pour le compte des filières de prostitution.
Comment combattre le fléau ?
Selon les criminologues, le trafic d’organes tout comme la traite d’êtres humains ainsi que le trafic de drogue est motivé par la demande. L’Europe de l’Est, l’Asie et l’Afrique ne peuvent eux seuls assumer la charge de lutter contre ce genre de criminalité. Les nouvelles tendances observées pour certains pays d’Europe de l’Ouest pour des lois plus laxistes, qui autorisent plus aisément les dons d’organes par des donneurs vivants même n’ayant aucun lien de parenté avec les receveurs, soulèvent d’importantes inquiétudes pour ce qui est des abus pouvant en résulter. Il est donc crucial d’adopter des législations plus contraignantes qui pour autant tiennent compte des droits des personnes en attente de transplantation aussi bien au plan national que au plan international.
mercredi 20 juin 2012
Les enfants soldats, des victimes de la traite des êtres humains contemporains
Posté par Christian Querou
De nombreux textes internationaux proscrivent
le fait de recruter et d’utiliser des enfants soldats, toutefois aucun d’entre
eux ne donne une définition claire. C’est à partir des « principes de Paris » rédigés
en février 2007 qui permettent de préciser la définition ainsi que la notion de
« enfant soldat ». On appelle enfants soldats, les garçons ainsi que
les filles ayant moins de 18 ans et qui sont embauchés ou employés illégalement
par des groupes armés (structures militaires non officielles) ainsi que des
forces armées (structures étatiques). Et cela, quelque soit l’activité exercée
par ces enfants.
L’origine du phénomène
Le fait d’utiliser des enfants dans les
conflits armés ne constitue pas vraiment une nouveauté. En effet, il s’agit d’un
phénomène aussi vieux que la guerre elle-même. Mais cela a pris beaucoup d’ampleur
à partir du début des années 1990, surtout grâce au développement du trafic des
armes légères ainsi que l’apparition ou le développement de nombreux conflits armés
sur le continent Africain, Asiatique, Européen ainsi que en Amérique du Sud. On
estime à 300 000 le nombre d’enfants soldats de par le monde.
Le profil des enfants soldats
mardi 19 juin 2012
Plaidoyer pour la lutte contre le trafic humain contemporain
Posté par Christian Querou
Le commerce
des êtres humains est l’une des forme d’expression les plus anciennes de la
barbarie qui caractérise l’activité criminelle. Presque depuis toujours l’homme
a considéré son semblable comme un objet ainsi qu’un moyen pour lui permettre
d’augmenter sa puissance, sa richesse matérielle ainsi que pour satisfaire ses
plaisirs.
Aujourd’hui,
plus que jamais la conscience humaine nécessite le respect et la dignité. C’est
pour cela que nous devons placer véritablement au centre de nos préoccupations tout
ce qui concerne la sauvegarde de l’humanité de la personne humaine. Le commerce
des êtres humains est la principale source de la prostitution, du travail clandestin,
de l’exploitation sexuelle des mineurs ainsi que du trafic des organes. Le
trafic humain contemporain permet aux armées ou milices de par le monde, d’utiliser
des enfants soldats, pour participer contre leur gré à des conflits armés et
des atrocités tout cela afin d’aider des dictateurs ou des mafias à conquérir
le pouvoir. Il est la source des activités criminelles qui ne pourraient
exister que par l’asservissement des femmes ainsi que des hommes nécessaires à
leur développement. S’il s’agit d’une pratique plutôt ancienne, elle continue à
se développer de notre temps dans des régions du monde où le chaos et la
pauvreté règnent ainsi que partout encore où les valeurs démocratiques sont
ignorées.
Toutefois,
il faut également prendre conscience du fait que la traite des êtres humains est
surtout une solution « commerciale » aux besoins des sociétés occidentales. Il
faut savoir que les différentes filières de trafic d'organe ou encore de traite
des enfants pour des besoins d’adoption sont la raison d’être des marchés destinés
à satisfaire des besoins des sociétés occidentales, ce qui pourrait l’être
autrement si l’on menait des actions dans ce sens. On constate également que le
trafic humain est un facteur très important entrant en jeu pour la
déstabilisation de la démocratie. Où que nous soyons dans le monde, nous avons tous
une part de responsabilité. Cela ne sert à rien de penser que nous pouvons combattre
ce phénomène en menant uniquement des actions à l’intérieur de nos états ou de
nos continents, seule une action globale pourra enrayer ce fléau.
lundi 18 juin 2012
Comment se mène la lutte contre la traite des humains ?
Posté par Christian Querou
De nos jours, la lutte contre le trafic humain contemporain est principalement menée par la société civile, les États ainsi que la communauté internationale dans son ensemble surtout par le biais de l’Organisation des Nations Unies et de ses différentes institutions. Cette dernière joue un rôle essentiel dans la mobilisation des États pour lutter contre le fléau, ce qui se traduit par l’évolution du concept ainsi que des législations nationales et internationales allant dans ce sens.
L’action de la communauté internationale
Au cours du mois de février 2007, l’Organisation des Nations Unies a organisé à Vienne (Autriche), le tout premier Forum international pour la lutte contre le commerce des êtres humains, le principal objectif de ce congrès était de mener des campagnes pour la coordination des actions à entreprendre. Ce fut l’un des évènements marquant l’Initiative mondiale contre le trafic (UN.GIFT2 ) qui a été lancée à partir de mars 2007 l’ONUDC (organisme onusien en charge de la lutte contre les crimes) en partenariat avec d’autres agences onusiennes, telles que l’Unicef et l’Organisation Internationale du Travail (OIT). L’évènement connut la participation de cent seize pays. Même si la coopération internationale apparaît être l’unique moyen de répondre à ce crime transnational, il n’en demeure pas moins vrai que la coopération régionale est un moyen très efficace de répondre aux préoccupations concrètes des nations en améliorant leur capacité combattre le phénomène. Ainsi, pour atteindre son principal objectif consistant à sauvegarder et à protéger les droits de l’homme, le Conseil de l’Europe a rédigé une Convention européenne portant sur le trafic humain contemporain qui entra en vigueur le 1er février 2008. Le but visé par la convention est d’être encore plus précise que le protocole des Nations unies par une action globale qui inclut la prévention, les procédures judiciaires à l’encontre des trafiquants ainsi que la coopération internationale.
Les difficultés rencontrées
S’il existe de nos jours une véritable dynamique contre la traite, cependant il ya encore beaucoup d’obstacles dues en autres au fait que tous les Etats ne luttent pas efficacement contre le fléau. En Europe par exemple, malgré les mesures prises par l’Union européenne, les législations varient encore d’un Etat à l’autre.
mercredi 13 juin 2012
Traite Des Etres Humains: La France Appelle a la Ratification de la Convention de Palerme
Posté par Christian Querou
Pour célébrer le cent cinquantième anniversaire de l’abolition de l’esclavage, la France avait décidé en 2006 d’instaurer une journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, le 10 mai. La France commémore aujourd’hui ces mémoires et rappelle que de nombreuses personnes sont encore victimes de la traite et réduites aux pires formes d’exploitations, partout dans le monde. La France reste pleinement engagée dans la lutte contre ces formes modernes de l’esclavage.
Le ministère des Affaires étrangères et européennes et son réseau diplomatique organisent plusieurs événements pour sensibiliser la société civile à l’actualité et à l’universalité de ce fléau.
L’Ambassadeur pour les droits de l’Homme, M. François Zimeray, représente le ministère des Affaires étrangères et européennes à la cérémonie officielle qui se tient aujourd’hui au Jardin du Luxembourg, sous le haut patronage du Président de la République.
Pour lire l'article original, cliquez ici
Pour célébrer le cent cinquantième anniversaire de l’abolition de l’esclavage, la France avait décidé en 2006 d’instaurer une journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, le 10 mai. La France commémore aujourd’hui ces mémoires et rappelle que de nombreuses personnes sont encore victimes de la traite et réduites aux pires formes d’exploitations, partout dans le monde. La France reste pleinement engagée dans la lutte contre ces formes modernes de l’esclavage.
Le ministère des Affaires étrangères et européennes et son réseau diplomatique organisent plusieurs événements pour sensibiliser la société civile à l’actualité et à l’universalité de ce fléau.
L’Ambassadeur pour les droits de l’Homme, M. François Zimeray, représente le ministère des Affaires étrangères et européennes à la cérémonie officielle qui se tient aujourd’hui au Jardin du Luxembourg, sous le haut patronage du Président de la République.
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